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Vol. I, Fasc. 1/2 (1945)


Vol. I, Fasc. 1/2 (1945)Categoria: Publicações, Estudos, Notas e Trabalhos, 1940 a 1949
Data de publicação: 29 setembro, 2019

15.90

O preço inclui IVA à taxa legal em vigor.

Descrição

Artigos

1. Área Cativa no Distrito de Bragança.
A. Bernardo Ferreira (3 páginas)

2. Considerações a Propósito do Manganêsio do Alentejo.
J. M. da Costa Almeida (24 páginas)
Resumo: Le Manganèse, dans le Portugal continental, se rencontre surtout dans l’Alentejo, au sud du pays. Dans le litoral, entre les villages de Santiago-do-Cacém et Odemira il y a de nombreuses mines de fer-manganèse. Accompagnant la zone pyriteuse qui traverse le Sud de la Péninsule Ibérique, où se trouvent les riches dépots de Aljustrel, S. Domingos et de Huelva (Espagne), on rencontre des dizaines de gisements de manganèse. Les mines de Fer et Manganèse du litoral sont principalement de deux types: remplissages de fentes et imprégnations des schistes du Carbonifère marin. Le manganèse atteint très souvent des teneurs supérieures à 10%. Le Fer a un pourcentage moyen d’aproximativement 48%. Dans les imprégnations existe beaucoup de silice, mais dans les fillons sa teneur moyenne s’approche de 5%. Le Phosphore et le Soufre se rencontrent en moyenne à 0,2%. Quelquefois la barite, qui est une gangue ordinaire des fillons, apparait avec une puissance supérieure à 2m. Le remplissage, du côte du mur, des filons est généralement constitué par du quartz laîteux, qui peut atteindre quelques mètres de puissance. Le Manganèse diminue toujours en profundeur; il est généralement disséminé dans les hématites et limonites, mais, quelquefois, il apparait sous forme d’oxides cristallisés. Les dépots ne sont pas trés importants, mais, en raison de leur nombre élevé, totalisent des réserve qui dépassent 5000000 tonnes de minerai de fer-manganèse. La génèse de ces gisements peut être expliquée par une précipitation simple des sels de fer et manganèse, surtout des carbonates. Le Manganèse aurait resté plus longtemps en solution et pour cette raison nous le trouvons en plus grande quantité dans la partie haute des gisements. Les carbonates ont été ensuite oxydés et se sont transformés en hématites et limonites contenant des oxydes de manganèse en quantités très variables. Ainsi se seraient formés les gisements par imprégnation des schistes pré-existants, ou par remplissage de fentes où se rencontrait déja le quartz. Plus tard, se sont produits des mouvements qui ont élevé la région et créé les conditions pour que l’erosion pût agir. La plupart des schistes ont été déplacés et seulement quelques lambeaux sont restés dans les basses altitudes et dans le versant opposé à l’océan du quartz du mur, ce qui permet de les voir affleurer actuellement aux sommets des hautres qui ont générallement leur direction. Les gisements de manganèse de la zone de l’Alentejo se présentent tantôt dans les terrains dévoniens, tantôt dans les schistes du Carbonifère. Ce sont de petites concentrations superficielles d’oxydes, principalement de la psilomelane et de la pyrolusite. Le minerai exploré contient à peu près 50% de manganèse métallique et 6 à 12% de silice. Il est très pur en phosphore et soufre. Les dépots sont acompagnés par des quartzites jaspoydes-rougeâtres et ils existent au milieu des, quartzites comme dans les schistes du toit, ou alors, au contact des schistes et des quartzites. Ils ont généralement la forme lenticulaire, en rosaire, et peuvent atteindre des puissances de quelques mètres. Généralement ils ne dépassent pas la profondeur de 40 m et, quelquefois, se continuent au fond par des masses de carbonates et de silicates (rodocrosite et rodonite). Ils sont interstratifiés et sont le résultat de météorisations sur les mineraux primitifs. Ces masses de silicates paraissent constituer la partie la plus importante des dépots qui ont produit les oxydes. Une grande partie des carbonates doit résulter de l’alteration de la rodonite, et se sont graduellement transformés en oxydes, donnant naissance à la braunite. Il est possible que les dépots de silicates ne proviennent pas du manganèse des sédiments locaux, mais qu’ils soient en relation avec le magma qui provoqua les nombreux affleurements de porphyre qui acompagnent toujours les gisements de manganèse et de pyrite de la zone mineralisée. Les jaspes caractéristiques doivent correspondre à une silicification contemporaine des altérations secondaires qui ont transformé les mineraux primaires en oxydes.

3. Contribuição para o Cálculo das Reservas das Minas de Ferro de Montemor-o-Novo.
Adalberto de Andrade (15 páginas)
Resumo: Le gisement de fer à Montemor-o-Novo est une bande minéralisée, d’environ 12 Km, avec une structure en rosaire, la direction NW-SE, et plongement de 45° à 70° vers NE. Il est encaissé dans les terrains archéens, des schistes métamorphiques et calcaires cristallins. Les roches encaissantes ont la même orientation du gisement. Les mines furent assez exploitées et on retrouve beaucoup de travaux anciens et plusieurs amas de scories, qui nous montrent que les romains y ont fait la fusion du minerai.Cependant, il n’est pas possible de déterminer les quantités démontrées. Le minerai est constituée par la magnetite et on peut le classifier suivant trois types: compact, granulaire à gangue asbestique et pyriteux. Le minerai compact a été totalement extrait. Les reserves actuelles du gisement ont été computées en les plus variables valeurs, toujours trés exagérées.
Depuis nos études nous avons conclu que le minerai pas démonté est environ 126000 tonnes, considérant seulement les mineraux du type granulaire à gangue asbéstique et les pyriteux avec moins de 10% du soufre. Le premier de ces deux types présente des reserves à la valeur de 50000 tonnes, étant de 70000 tonnes les reserves du minerai du second type.

4. Contribuição para o Estudo do Paleozóico da Margem Direita do Douro.
A. Cândido de Medeiros (23 páginas)
Resumo: On a fait l’étude géologique d’une petite région située sur la rive droite au Douro, aux environs de Melres, 30 Kms au Sud-Est de Porto. L’aire étudiée ne dépasse pas les limites de la «Quinta da Varziela». On y observe des terrains paléozoïques qui sont du côté SW en contact avec des schistes plus anciens, peut-être algonkiens. La série paléozoïque est formée par des couches de Silurien, de Dévonien et de Carbonifère productif. Les formations sont plissées et faillées. Le Silurien est presque totalement représenté par l’Ordovicien. On trouve seulement par endroits de minces bandes de schistes ampliteux Gothlandiens avec Monograptus. Le Dévonien se présente aussi en une bande très étroite. Les couches sont fossilifères et on y a recueilli: Tentaculites sp., Spirifer sp., Pterinea sp., Phacops cf. latifrons Bonn., Crinóides, etc. Il s’agit dune faune gédinienne, des premiers temps du Dévonien. Le Carbonifère, plus developpé que les terrains antérieures, n’est que la continuation du même affleurement de São-Pedro-da-Cova et Midões. Il droit être placé dans le Stéphanien moyen. Parmi les fossiles trouvés dans les roches de cette formation il y a: Pecopteris femiaeformis Schloth., Pecopteris unita Brongn., Pecopteris cyathea Schloth., Pecopteris lepidorachis Brongn., Pecopteris Viannai Teix., Pecopteris Bioti Brongn., Pecopteris polymorpha Brongn., Pecopteris cf. Sterzeli Zeiller, Pecopteris sp., Sphenopteris pecopteroides Landskr., Sphenopteris sp., Alethopteris Grandini Brongn., Odontopteris genuina Grand’Eury, Callipteridium gigas Gutbier, Diplotmena Ribeyroni Zeiller, Taeniopteris jejunata Grand’Eury, Lebachia parvifolia Florin, Dicranophyllum gallicum Grand’Eury, Cordaites sp. Annularia sphenophilloides Zenker, Sphenophyllum oblongifolium Germar, Asterophyllites equisetiformis Schloth., Equisetites zeaeformis Andrae, Calamites Suckowi Brongn., Calamites Cisti Brongn., Clamites cf. undulatus Sternb., Calamites sp., etc Il fait signaler aussi, à côté des végétaux, des fossiles de bivalves. Ces bivalves appartennent au genre Anthracomya et on a constaté l’existence de deux espèces distinctes Anthracomya lusitanica Teix. et Anthracomya cf. prolifera Waterlot. On a encore signalé de petits lambeaux de dépôts plus récents – dépôts de versant et dépôts fluviatiles.

5. Emprego da Balança de Adolfo Schmidt na Determinação das Susceptibilidades Magnéticas.
Vitorino R. Correia (11 páginas)
Resumo: On a fait en 1943 des études sur le magnetisme des mineraux de fer du Portugal. Les recherches ont été realisées par des specialistes suedois. On décrit dans ce travail la méthode suivie pour le calcul des susceptibilités des echantillons des mineraux de fer avec la Balance de A. Schmidt.

6. Granitos e Jazigos Minerais de Diferenciação Magmática das Beiras e Norte de Portugal.
J. M. Cotelo Neiva (26 páginas)
Resumo: The several types of portuguese granite, outcropping within the Hesperic Massif (Iberian Tableland), originated from differentiation by fractional crystallisation of a fundamental acid magma of calc-alkaline chemistry – normal granitic magma -, whose intrusion, during the Permian, must be related to the saalic phase of the hercynian movements, to which it was sub-sequent.Mineral deposits resulted by differentiation, intrusion and crystallisation of residuals of that granitic magma, can’be found in the Beiras, Douro-Litoral, Minho, Trás-os-Montes and Alto-Douro. They are:

    a) The pegmatite and hypothermal deposits of cassiterite and wolframite;
    b) the pegmatite deposits of mangano-tentalite and rare monazite;
    c) the pegmatite deposits of Uranium and Radium ores;
    d) The pegmatite and hydrothermal deposits of bismuth;
    e) the hypothermal deposits of scheelite;
    f) the pegmatite, the hypothermal and the mesothermal deposits of sulphides sometimes with gold and silver present.

7. Notas Sobre as Minas de Chumbo de Adorigo.
J. L. Guimarães dos Santos (22 páginas)
Resumo: D’aprés le texte, ont peut conclure que: Le gisement de Adorigo est du tipe filonnéen. Un des filons, connue sur une extension d’à peu prés 4000 mètres, a été autrefois exploité. Les filons, avec une directions NE-SW.mg et inclinés 70°-80° vers SE.mg, coupent presque normalement les schists ante-siluriques encaissants, de direction NW-SE. mg.C’est un gisement de sulfures de plomb, zinc, fer et cuivre (B.G.P.C.) avec une grande predominance de galène jusque aux niveaux inférieurs les pourcentages de blende angmentera, se devant maintenir toutefois la prédominance de galène. La gangue du filon est constituée par du quartz, quelque calcaire et calcite, mais prédominant le quartz. La puissance observée est trés variable ce qu’on peut puisse dire qu’elle est la puissance moyenne. Le fillon se présente minéralisé en zones ou en colonnes avec les mineraux distribué en filonets ou alors en des taches concentrées.
On note dans les travaux réoverts, de vastes sections où le filon est completement stérile au point de vue macroscopique. Les travaux réoverts ne se montrent pas encourageants, mais fournissent des indications d’intérêt, qui doivent être éclairées et méritent une étude de recherche et reconnaissance.
En face des progrés et résultats obtenues par certainnes méthodes de prospection géofisiques, l’investigation élèctrique en courant continue dans la prospection des filons métalifères d’Adorigo aurait de l’intérêt.

8. O Jazigo de Ferro de Guadramil.
A. Silva Neto ; F. Soares Carneiro ; F. Morais Ferreira (9 páginas)
Resumo: Le gisement de fer du Guadramil est constitué par trois formations hematitiques de sédimentation maritime. Selon notre avis elles sont disposées en anticlinal avec une longueur totale de 3000 m reconue en surface et une puissance moyenne totale de à peu prés 4,50 m. on peut considerer la bonne qualité du minerai hematitique.

9. Ocorrência de Bismuto na Serra do Marão
A. Bernardo Ferreira ; J. M. Cotelo Neiva (5 páginas)
Resumo: Il existe dans la Serra de Marão, près du Village de Montes, un affleurement d’une concentration métallifère bismuthée. Dans cette région affleurent des schistes chloritiques ante-siluriques. Deux puissants filons pegmatitiques – pegmatitiques granitiques complexes – s’encastrent dans ces schistes, qui se ont transformés par métamorphisme, et dont ils présentent de nombreaux xénolithes.Ces filons sont parallèles, et il existe entre eux une étroite bande de schistes chloritiques qui ont subi un fort écrasement en raison de plusieurs failles qui traversent cette bande dans le sens de sa direction. Cette bande est minéralisée de bismuth, pyrite et chalcopyrite. Ces minéraux, qui ont partiellement remplacé la muscovite, l’orthose, l’oligoclase et le quartz, se trouvent également dans les pegmatites.
Après fracturation de la région aurait eu lieu l’invasion du magma pegmatitique qui, en se consolidant, a permis la formation des filons. Des mouvements épirogéniques ont ensuite formé des failles dans la région, spécialement dans l’étroite zone de schistes chloritiques qui est restée entre les deux filons pegmatitiques. des solutions hydrothermales, provenant de la différentiation du magma pegmatitique, sont montées à travers ces zônes plus faibles, et ont permis la minéralisation de cette bande par le bismuth et les sulfures, et le remplacement partiel des minéraux dans les pegmatites.

10. Possibilidade de Ocorrência de Platina no Distrito de Bragança.
J. M. Cotelo Neiva (7 páginas)
Resumo: Dans le district de Bragance, spécialement dans les régions de Vinhais, Bragance et Macedo-de-Cavaleiros, affleurent des roches péridotiques, principalement les dunites. Nous rencontrons aussi des hartzburgites et, dans quelques points, on peut observer des wehrlites, ilerzolites, norites et gabros.Dans ces régions existent gisements de chromite de ségrégation magmatique. Il y a une trés grande ressemblance de caractères pétrographiques et géologiques de ces formations du district de Bragance avec les formations du même type qui se rencontrent au Transvaal, en Colombie britannique, en Colombie Equatoriale, au Brésil, à Bornéo, en Nouvelle-Zélande, en Tasmanie, dans l’Oural (Russie, et en Espagne, où les dunites présentent des ségrégations de platine.
Par les ressemblances indiquées il est naturel de supposer que les dunites du district de Bragance présentent aussi des ségrégations de platine et d’autres métaux comme l’osmium, l’iridium, le palladium, le rhodium, le ruthénium et, aussi, l’or, le nickel et le cobalt.
Des analyses spectrochimiques de ces roches nous permettront de confirmer ou non notre supposition. Si cela se confirme on devra alors faire une étude profonde des alluvions des aires dunitiques.

11. Resumo da Actividade do Serviço de Fomento Mineiro Durante o Primeiro Semestre de 1945.
(12 páginas)

12. Tipos de Minério das Minas de Ferro de Montemor-o-Novo.
João Martins da Silva (9 páginas)
Resumo: The several kinds of iron in these mines are:

    a) Compact magnetite with limestone-siliceous gangue.
    b) Compact magnetite with amphibolic gangue.
    c) Granular magnetite with amphibolic gangue.
    d) Magnetite and pyrite association with a little limestone and amphibole.
    e) hematite iron ore.

Owing to processes of superficial alteration these iron ores change as follows: a) It gives slowly hidrated ferric oxids at surface. B), c) Above the water level the minerals gangue give asbestic products, principally in c). D) From this ore results usually the following: Ferrie hidroxid, ferrous and ferric sulphates, sulfur and limonite. E) Sometimes it gives a little limonite but this change is very slow.

13. Um Acidente em Sondagens.
A. Bernardo Ferreira ; F. A. C. Gonçalves Macieira (10 páginas)
Resumo: Description d’un accident survenu dans un sondage de recherche de charbon. L’accident a eu lieu a la profondeur de 38,27 mètres et a consisté d’un coincement du carottier. Explication déttaillée de tous les moyens employés pour le sauvetage du matériel et façon selon laquelle il a été effectué-par élargissement du trou.


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